Des mots pour des maux
(ou l'inverse)
Des mots de tête
des mots par cœur
Des mots sur le bout des doigts
des mots qui font corps
...
une couleur dominante : le vers !
multicolore
comme un caméléon
ce vers qu'on chante ou qu'on murmure
au fil des pensées tissées autour des mots
parfois au coin d'un verre
souvent au coin d'un rêve
entrouvert
comme pour accueillir et se protéger
...
écrire ce cri silencieux qui déchire les pages du souvenir
écrire ce rire qui déborde jusqu'aux larmes involontaires
...
écrire pour sortir ses maux
et les jeter le plus loin possible de soi
et trouver une liberté relative qu'il reste à définir...
imiter le Créateur
en inventant son monde, ses règles, ses beautés...
...
Mots guérisseurs
mots quotidiens
...
Les mots les plus beaux sont ceux qui nous viennent naturellement
mercredi 2 juin 2010
jeudi 13 mai 2010
une pièce à voir...
Je viens d'assister à un spectacle théâtral qui m'a plu à plus d'un titre...
D'abord je vais vous expliquer le contexte
Utilisateur du réseau Twitter, j'ai une contact qui m'informait qu'elle jouait une pièce de August Strindberg "La plus forte" dans un thèâtre parisien et j'y suis allé...
Dans la petite salle d'une cinquantaine de place, un décor minimaliste et deux actrice (Mélodie et Élodie) livrent un huis clos sur un duel amoureux (elles aiment le même homme, absent de la scène)
Cette pièce est suivie d'une chorégraphie d'Élodie spectaculairement sportive mélée d'une vidéo qui donne un sens d'une puissante violence psychologique à la gestuelle de la danseuse...
En résumé ce spectacle est bien tourné et plaisant à voir... Les actrices jouent bien et donnent une interprétation de la possession amoureuse d'une justesse incisive...
Si vous deviez aller voir une pièce, allez voir celle là sans hésiter !
D'abord je vais vous expliquer le contexte
Utilisateur du réseau Twitter, j'ai une contact qui m'informait qu'elle jouait une pièce de August Strindberg "La plus forte" dans un thèâtre parisien et j'y suis allé...
Dans la petite salle d'une cinquantaine de place, un décor minimaliste et deux actrice (Mélodie et Élodie) livrent un huis clos sur un duel amoureux (elles aiment le même homme, absent de la scène)
Cette pièce est suivie d'une chorégraphie d'Élodie spectaculairement sportive mélée d'une vidéo qui donne un sens d'une puissante violence psychologique à la gestuelle de la danseuse...
En résumé ce spectacle est bien tourné et plaisant à voir... Les actrices jouent bien et donnent une interprétation de la possession amoureuse d'une justesse incisive...
Si vous deviez aller voir une pièce, allez voir celle là sans hésiter !
* informations utiles et complémentaires *
LA PLUS FORTE suivi de CHAQUE CHOSE A UNE PAUSE
du 12 au 16 mai au Théo Théâtre
20 rue Théodore Deck,
75015 Paris
Réservation : 01 45 54 00 16
mercredi et jeudi à 19h30, vendredi et samedi à 21h30
dimanche à 17h30
Métro ligne 12 : M° Convention ou M° Porte de Versailles
Métro ligne 8 : M° Boucicaut
Bus : 80 – 62 – 39 – Tram N°3
un article sur ArtéMédia
pour payer moins cher, allez sur BilletRéduc
relations presse/agent artistique: liselleanzala@hotmail.com
lundi 12 avril 2010
Qu'on se le dise !
- Con pensé
- Con tenu
- Con posé
- Con gelé
- Con cave
- Con pressé
- Con blé
- Con sort
- Con plisse
- Con science
- Con thé
- Con parait
- Con plaisant
- Con battant
- Con pas tissant
- Con damné
- Con pli quai
- Con cubain
- Con centré
- Con naissance
- Con table
- Con corde
- Con si liant
- Con gestion
- Con verge
- Con pulsion
- Con fesses
- Con senti
- Con formé
- Con fait des raies
- Con fut
- Con cul rang
- Con cierge
- Con pétant
- Con cul pissant
- Con battu
- Con nu
- Con gère
- Con pote
- Con valait 100
- Con testé
- Con flic tue elle
- Con bas
- Con d'or
- Con juré
- Con soeur
- Con vive
- Con figure
- Con sommé
- Con du i
- Con Passé
- Con fait rance
- Con sert [dont le con sert tôt en sol mineur !]
- Con primé
- Con joint
- Con ta mine
- Con frère
- Con sacré
- Con tracté
- Con temps cieux
- Con tact
- Con fait des ration germaniques
- Con Passion
- Con tourné
- Con vaincu
- Con j'ai payé
- Con pilé
- Con pris
- Con cédé
dimanche 4 avril 2010
Mon humeur à la fenêtre (2)
Ces derniers jours,
face à ma fenêtre,
j'ai l'humeur nuageuse...
comme quoi c'est contagieux...
Le ciel m'enrobe et se dérobe,
et le spleen s'installe
doucement
mais implacablement
dans mon esprit....
Manque de confiance...
et en tentative de fuite
sans point de chute
juste dans le mouvement
juste comme une photo instantanée
Qui servira surement de marque page
quand le livre des souvenirs sera refermé
et puis l'absence d'écho
le doute d'être entendu
Alors je me tais
J'emmagasine
je rumine mes pensées
mes sentiments
mes humeurs
et puis les petits cailloux
(je n'avais pas de bouteille sous la main)
coulent sans arriver à leur destinataires,
la prochaine fois je prendrais des pierres plus grosses
Au risque de tout éclabousser
mais bon,
Je rêve encore
Ce qui prouve
que je suis encore sensible
vivant
Je me dis parfois qu'il faut fermer la fenêtre
qu'il y a d'autre chose à voir
mais quand on y prend goût...
Puis le temps passe
et mes humeurs aussi
Sauf que parfois
à force de les accumuler
elles finissent par déborder
face à ma fenêtre,
j'ai l'humeur nuageuse...
comme quoi c'est contagieux...
Le ciel m'enrobe et se dérobe,
et le spleen s'installe
doucement
mais implacablement
dans mon esprit....
Manque de confiance...
et en tentative de fuite
sans point de chute
juste dans le mouvement
juste comme une photo instantanée
Qui servira surement de marque page
quand le livre des souvenirs sera refermé
et puis l'absence d'écho
le doute d'être entendu
Alors je me tais
J'emmagasine
je rumine mes pensées
mes sentiments
mes humeurs
et puis les petits cailloux
(je n'avais pas de bouteille sous la main)
coulent sans arriver à leur destinataires,
la prochaine fois je prendrais des pierres plus grosses
Au risque de tout éclabousser
mais bon,
Je rêve encore
Ce qui prouve
que je suis encore sensible
vivant
Je me dis parfois qu'il faut fermer la fenêtre
qu'il y a d'autre chose à voir
mais quand on y prend goût...
Puis le temps passe
et mes humeurs aussi
Sauf que parfois
à force de les accumuler
elles finissent par déborder
lundi 29 mars 2010
Coup de coeur lectures (2)
Vous aimez les voyages
Alors suivez Raimund Gregorius,
professeur de lettres
dans un établissement suisse
qui à la suite d'une rencontre
va être happé par un livre en portugais
qui l'emmenera à découvrir là où son auteur a vécu...
Une histoire pleine d'aventure,
de références historiques
et une description d'un Lisbonne
que j'ai pu apprecier de visu !
Si vous voulez en savoir plus,
Lisez
"Train de nuit pour Lisbonne" écrit par Pascal Mercier
(un auteur suisse germanophone dont l'oeuvre est traduite
aux édition 10/18 collection domaine étranger)
Alors suivez Raimund Gregorius,
professeur de lettres
dans un établissement suisse
qui à la suite d'une rencontre
va être happé par un livre en portugais
qui l'emmenera à découvrir là où son auteur a vécu...
Une histoire pleine d'aventure,
de références historiques
et une description d'un Lisbonne
que j'ai pu apprecier de visu !
Si vous voulez en savoir plus,
Lisez
"Train de nuit pour Lisbonne" écrit par Pascal Mercier
(un auteur suisse germanophone dont l'oeuvre est traduite
aux édition 10/18 collection domaine étranger)
samedi 27 mars 2010
Mon humeur à la fenêtre (1)
La fenêtre est selon mon dictionnaire une ouverture pratiquée dans un matériau. longtemps j'ai cru que c'était pour voir les feux naître mais non, j'ai rarement vu d'incendies à travers des fenêtres (deux ou trois tout au plus, quand même...) et j'en suis venu à réfléchir sur le sens que pouvait avoir une fenêtre...
D'abord je me suis vite rendu compte qu'une fenêtre était à double sens puisque dans la plupart des cas on peut voir des côtés de ladite fenêtre. Combien de fois depuis ma rame de métro dans son tronçon aérien, je n'ai pas cherché à voir ce que pouvait faire les gens derrière leur façade... et parfois quand une fenêtre était ouverte j'eus quelque spectacle éphémère (le temps que le métro passe devant, pas plus...) dont j'attendais les jours suivant la répétition qui n'était pas toujours au rendez-vous.
Les fenêtres ont entrainé les citadins à devenirs des voyeurs : que celle ou celui qui n'a jamais trouvé plaisir à regarder par une fenêtre me prouve le contraire !
Bon je ferme la fenêtre sur ce petit billet d'humeur pour mieux la rouvrir sur un autre délire...
D'abord je me suis vite rendu compte qu'une fenêtre était à double sens puisque dans la plupart des cas on peut voir des côtés de ladite fenêtre. Combien de fois depuis ma rame de métro dans son tronçon aérien, je n'ai pas cherché à voir ce que pouvait faire les gens derrière leur façade... et parfois quand une fenêtre était ouverte j'eus quelque spectacle éphémère (le temps que le métro passe devant, pas plus...) dont j'attendais les jours suivant la répétition qui n'était pas toujours au rendez-vous.
Les fenêtres ont entrainé les citadins à devenirs des voyeurs : que celle ou celui qui n'a jamais trouvé plaisir à regarder par une fenêtre me prouve le contraire !
Bon je ferme la fenêtre sur ce petit billet d'humeur pour mieux la rouvrir sur un autre délire...
jeudi 25 mars 2010
Coup de coeur lectures (1)
Si vous aimez Paris,
Si vous aimez l'histoire
(en l'occurence celle qui va entre la guerre de 1870 et celle de 1914)
Si vous aimez les énigmes policières...
et que vous n'avez pas encore découvert
les aventures de Victor Legris,
Alors il vous faut combler cette lacune !
Depuis 2003,
Claude Izner nous promène
avec délice et malice
dans les rues et l'histoire de Paris
Claude Izner excelle dans "l'écriture à quatre mains"
tout comme Souvestre et Alain du temps de Fantomas
puisque sous ce nom de plume
se cachent deux soeurs qui à ce jour ont produit
8 aventures de Victor Legris :
Si vous aimez l'histoire
(en l'occurence celle qui va entre la guerre de 1870 et celle de 1914)
Si vous aimez les énigmes policières...
et que vous n'avez pas encore découvert
les aventures de Victor Legris,
Alors il vous faut combler cette lacune !
Depuis 2003,
Claude Izner nous promène
avec délice et malice
dans les rues et l'histoire de Paris
Claude Izner excelle dans "l'écriture à quatre mains"
tout comme Souvestre et Alain du temps de Fantomas
puisque sous ce nom de plume
se cachent deux soeurs qui à ce jour ont produit
8 aventures de Victor Legris :
- Mystère rue des Saints-Pères
- La disparue du Père-Lachaise
- Le Carrefour des Ecrasés
- Le secret des Enfants-Rouges
- Le Léopard des Batignoles
- Le Talisman de La Villette
- Rendez vous passage d'Enfer
- La momie de la Butte-aux-Cailles
et bientôt
- Le petit homme de l'Opéra (à paraître)
Pour plus d'informations concernant l'auteur et l'oeuvre :
un site à visiter
http://claudeizner.free.fr/
un site à visiter
http://claudeizner.free.fr/
mercredi 24 mars 2010
Bienvenue dans mes humeurs
Si vous connaissez déjà
les promenades d'une fleur urbaine,
vous allez maintenant en découvrir les humeurs...
Ici
il sera question de tout et de rien,
des lectures,
des pensées,
de ce qui fait mon environnement
et que je veux partager avec vous
...
les promenades d'une fleur urbaine,
vous allez maintenant en découvrir les humeurs...
Ici
il sera question de tout et de rien,
des lectures,
des pensées,
de ce qui fait mon environnement
et que je veux partager avec vous
...
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